The Vampire Empire
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 Duncan ||| Could you be loved for what you are ?

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2 participants
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Duncan ||| Could you be loved for what you are ? Empty
MessageSujet: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 0:02





    Duncan ||| Could you be loved for what you are ? Rad82CC3

    » D.
    » 19 ans

    » 511 ans
    » En couple



      . ONE STEP AT TIME
      Duncan A. Warrens
      » WITH Robert Pattinson
      . WE LIVE AND WE LEARN TO TAKE




      » Américaine
      » 24 Février 1497
      » Lewis Warrens
      » Duncan Camps




Duncan ||| Could you be loved for what you are ? 090121043403904226




    THAT WHAT THEY LIKE ABOUT ME
    _______________________Your qualities

    » #1 Il est quelqu'un de très compréhensif, il est à l'écoute des autres, notamment des humains qui ne savent pas toujours quoi penser de ce qui leur arrive. Il les conseils, les guide et les soutient sans rien demander en retour.
    » #2 Il est extrêment pacifique, et cela n'est pas près de changer avant pas mal de temps à vrai dire. Il ne supporte pas Adam, son frère, car celui-ci ne partage vraiment pas cette qualité. Il rêve d'un monde où les différences n'auront plus lieu d'être. Rêve ou futur, seul l'avenir le dira.
    » #3 C'est quelqu'un de très patient, il ne se presse jamais et prend le temps d'écouter tout ceux qui désire s'adresser à lui. Il aimerait qu'Ambre devienne un vampire car il ne veut pas la perdre, celle ci est réticente, il attendra donc paisiblement sa réponse.
    » #4 Il est passionné, lorsqu'il aime, c'est pour de vrai, pas de demi mesure dans ses gestes et ses actes, il ne laissera jamais tomber. Il fera tout pour garder celle qu'il l'aime auprès de lui, il est capable des pires folies !
    » #5 La fidélité est une valeur fondamentale chez lui, jamais il ne lui viendrait à l'idée d'aller voir une autre fille qu'Ambre, elle le satisfait pleinement. Et à vrai dire, il est sauvagement amoureux d'elle et ne laissera jamais d'autres filles la remplacer.





      THAT WHAT THEY HATE ABOUT ME
      _______________________Your defects

      » #1 Ce n'est peut être pas un défaut, mais il parle toujours dans un langage un peu décaler, même s'il fait des efforts, cela lui revient souvent.
      » #2 Il est beaucoup trop téméraire, car même s'il est l'un des vampires les plus puissants, il n'en reste pas moins vulnérable. Il se lance à corps perdu dans tout et n'importe quoi.
      » #3 Il est également très rancunnier, dès qu'on le blesse, il a beaucoup de mal à pardonner, de plus, en vu de sa très bonne mémoire, il n'oublie jamais qui l'a blessé ou offensé. Il peut d'ailleurs devenir très colérique si on le fait trop souffrir, car il est en vérité assez sensible.
      » #4 Extrêmement possessif, il n'hésitera pas à se battre pour protéger les personnes qui compte pour lui. Il est très jalou et n'aime pas voir sa petite amie parler à d'autres garçons. C'est dans ces moments qu'il peut devenir dangereux.
      » #5 Très moqueur avec ceux qu'il n'apprécie que moyennement, si vous l'embêter, les remarques désobligeantes fusent de toutes parts, aussi blessantes que gratuites. Ne vous étonnez pas !





Duncan ||| Could you be loved for what you are ? 090121043926255063




    IPREFERE SOME OF THEM
    ____________Your preferences



    » [ ] Salé
    » [ ] Jour
    » [X] Amourette
    » [ ] Soleil
    » [ ] Mensonges
    » [X] Sucré
    » [X]Nuit
    » [ ] Sans lendemain
    » [X] Pluie
    » [X] Vérités




      I'M FALL IN LOVE WITH THEM
      ___________________Your tastes

      » #1 Ambre, what else ?
      » #2 La musique, il pourrait passer des heures à en écouter
      » #3 La fraicheur
      » #4 Les longues ballades nocturnes
      » #5 La littérature, il adore lire




Duncan ||| Could you be loved for what you are ? 090121044124584283



    » Johanna
    » 16 ans tout juste <3

    » Partennariat en attente sur UL



      » Ok by E.
      » Yes xD
      » Hum, faut que j'me dépêche de finir cette fiche... Non vraiment, rien à ajouter ^^ !


Dernière édition par Duncan Warrens le Jeu 29 Jan - 14:50, édité 10 fois
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Elena R. Whisthler
    ALL I WANT IS the wind in my hear to face the fear but not feel scared

Elena R. Whisthler


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'. ALL I LISTEN : Diary of Jane - Breaking Benjamin
'. MY MOON : Lost Moon
'. MY CAMPS : Declan Camps
I\'M JUST FASCINATED : Duncan ||| Could you be loved for what you are ? 090304100453589199
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MY SCHOOL : L'école est sympatique, mais les Vampires sont capables de tout ! Ca donne vraiment la frousse, surtout quand vous êtes devenue l'une des leur, il y'a peu.
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'. ME, MYSELF & YOU
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 0:08

Bienvenu =)
Héhé, Ambre va être contente =P
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 0:11

Héhé I love you Merci !
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 0:22

    Welcomee <3 Bonne Continuation (=
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 1:18

Merci, pareil pour toi Wink !
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 14:51

[Désolée, d'une part pour le double post, et ensuite parce que je n'avais pas prévu que j'écrirais beaucoup donc second post s'impose Very Happy ]

Duncan ||| Could you be loved for what you are ? 090121043741321833


Sa vie d’avant… Il avait tant et pourtant si peu de souvenir à ce sujet là… Une partie de sa vie dont peu de personne était au courant, il n’était pas du genre à s’étaler ouvertement sur la question, préférant laisser le passé et ses tumultes douloureux là où ils étaient. Mais, après tout, pour pouvoir regarder devant, il faut s’avoir se retourner parfois, même si la tâche n’était forcément toujours très aisée. Il fallait qu’il se concentre, pour retrouver quelques bribes de souvenirs, qui, enfilées une à une sur un fil trouvaient un sens, comme un collier cassé, un collier qu’on devrait réussir à réparer. Ce n’était pas une mince à faire, car les dites perles étaient répandues un peu partout, au quatre coin du monde, abandonnées dans un coin, recouvertes de poussières, oubliées depuis un demi millénaire, autant chercher une aiguille dans une botte de foin… Tout ce qui s’était passé avant Ça, avant qu’il ressente en tout son corps cette douleur presque létale, qui l’avait rendu fou, qui l’avait rongé de l’intérieur petit à petit, qui l’avait lentement laissé agoniser, tout était plus ou moins flou. Mais tout d’un coup un souvenir refait surface ! C’est alors comme un enchaînement, il laisse place à un autre souvenir ayant un lien avec le précédent, et ainsi de suite, formant une chaîne sans fin, reconstituant peu à peu le passé du vampire. Son histoire lui revint comme un flash, le tirant de sa rêveries dans un sursaut, baignant de sueur froide. Il se souvenait, oui, Jason Aaron Becket était de retour dans sa tête, et semblait vouloir ressurgir de nouveau. Duncan s’épongeât le front et s’assit à son bureau. Saisissant une plume et de l’encre, il alluma une bougie et, éclairé par cette faible lumière, entreprit de d’écrire. Ecrire pour ne plus jamais oublier…

Par où commencer ? Il y avait tant de chose à raconter à présent que sa vie antérieur lui était revenue en tête. Les souvenirs se mélangeaient et tourbillonnaient dans son esprit étourdi par les récents évènements. Quel était l’événement qui avait fait débuter sa vie ? Son cerveau lui criait que c’était bien évidemment sa première naissance, comme tout le monde ! Le vampire qu’il était, quant à lui, affirmait que sa vie avait commencé le jour où il s’était fait mordre. Il tourna la tête et regarda Ambre qui dormait paisiblement. Dormir… C’était juste… Fascinant… Son cœur affirmait que sa vie avait réellement débutée le jour où il avait rencontré cette jeune humaine délicate et fragile. Il décida de commencer par ce qui lui semblait le plus logique, le commencement pour tout être sur Terre, l’un de leur seul point commun à tous. Il regarda le plafond, pensif. Comment écrire son histoire ? Quels mots fallait-il utiliser ? Il soupira et trempa sa plume dans l’encre avant d’écrire d’une fine écriture calligraphié :

    « Je m’appelle Duncan Aaron Warrens, je suis un vampire et j’ai exactement 511 ans, mais avant de devenir ce que je suis aujourd’hui, j’étais Jason Aaron Beckett, et voici mon histoire, du commencement à la fin… Ou de la fin au commencement, c’est à vous de voir. »


Pas terrible comme début pas vrai ? Enfin, il fallait bien commencer par quelques chose, à présent le reste allait s’écouler à gros débit au fil de la plume, tout, absolument tout serait retranscrit sur ce carnet usé. Il ne fallait pas oublier sa vie d’antan, c’était crucial, voir même vital d’avoir de la mémoire lorsque l’on était immortel, sinon on se laissait rapidement rattraper par les évènements, c’était un fait. Alors, où en était-il ? Ah oui, il avait décidé de commencer par sa première naissance. Il se gratta la tête, où était-il né déjà ? Quand d’ailleurs ? Tandis qu’il fermait les yeux pour se remémorer ses informations, une voix féminine très douce se fit entendre, elle était réconfortante, et Duncan se sentait comme sur un nuage, il se laissait bercer, pour un peu, il aurait même pu sentir l’odeur du pain chaud sur la table. Il ouvrit les yeux, légèrement euphorique. Entendre la voix de sa mère le laissait toujours dans un état second.

    « Je suis né le 24 février 1497, mais je ne me rappelle plus très bien où exactement… Ce dont je me souviens, c’est qu’en face de notre maison de fortune se trouvait une grande rivière ou j’allais souvent me baigner avec ma sœur lorsque l’été revenait. Nous habitions, ma mère, Eleonore, mon père, Edward, et ma sœur, Elizabeth, au beau milieu de ce qui serait aujourd’hui la campagne Irlandaise. De vastes étendues verdoyantes, de grands lacs froids et sombres, des arbres à n’en plus finir, c’est le décor dans lequel j’ai passé la plus heureuse des enfances. Edward Becket, mon père, avait toujours été un marginal, très en avance sur son époque, c’était une sorte de génie incompris du monde qui le considérait comme un fou alors que, bien au contraire, il brillait d’une intelligence rare pour son temps. Il était pourtant le conseiller de notre seigneur, et les autres habitants de ces terres lui devaient le respect. Devant lui, on se confondait en révérence et en manières superflues, mais il n’en était pas de même lorsqu’il n’était pas là. Les critiques et les moqueries fusaient de toute part, de toutes les bouches. Il ne tarda pas à devenir un homme très influent.
    C’est donc dans une situation assez morbide qu’il rencontra ma mère. En effet, Eléonore Becket, née O’Donell, avait été emprisonnée et condamnée à brûler sur le bûcher pour acte de sorcellerie. Sorcellerie ? Ma douce mère ? Ais-je jamais entendu pareil bêtise ? Ne serait-ce qu’il fit jouer ses relations haut placées pour faire libérer la jeune femme avant de l’épouser. Dès lors, il perdit tout les privilèges qu’il avait durement acquit jusque là, il fut délesté de son rôle de conseiller. Il était à présent devenu la cible des pires rumeurs. A vrai dire, un homme qu’on croyait fou qui épousait une femme qu’on jurait sorcière, ce n’était certes pas vu d’un très bon œil. On leur accorda le droit de rester sur leur terre à la seule condition de ne pas avoir de descendance, tous craignant le croisement fatale d’un illuminé et d’une envoyée du diable. Ils tinrent cette promesse assez longtemps, mais ce qui du arriver arriva, telle une fatalité. J’étais né, moi, alors Jason Aaron Becket, dans le plus grand secret.
    Je n’allais pas à l’école, mon existence devait à jamais demeurée cachée aux yeux des hommes, ma mère et mon père me l’avait fait comprendre, les humains étaient noirs, cruels, sans aucune pitié, et je risquais ma vie chaque fois que je mettais un pied dehors. Pourtant, et ce fut inévitable, on me démasqua. J’appris plus tard que c’était notre voisine, Mrs McTweedy, qui nous avait dénoncés en échange d’une récompense. Entre temps, ma petite sœur était née, elle aussi, mais personne ne la remarqua jamais, trop jeune pour se montrer. Nous fûmes tous les quatre arrêtés. Après quelques jours d’isolation passé dans une cellule humide et glacée, un homme en noir vint chercher mon père. En voyant le regard emplit de tristesse et de larme de ma mère, de ma jolie maman, je compris que plus jamais je ne le reverrais. Ma mère, qui d’ordinaire était si belle, si enthousiaste, malgré tout ce que nous avions subit, qui arborait toujours ce sourire réconfortant, avait brusquement changé. Sa mine froide, vide et sans vie me faisait peur, j’avais l’impression que plus jamais je ne pourrais voir son sourire illuminer son visage, et me réchauffer le cœur. Elle ne pouvait même plus me persuader que tout irait bien, je voyais bien qu’aucun espoir ne nous était permis. Dans mon petit esprit d’enfant, je me demandais ce que nous avions fait de mal pour mériter une telle chose. Je me souviens avoir dit à ma mère, alors qu’elle se laissait doucement dépérir, " Tu sais maman, je suis désolé d’avoir marché sur la queue du chien de Mrs McTweedy, je ne pensais pas que c’était si grave… Tu crois que si je m’excuse auprès d’elle on nous laissera sortir et que papa reviendra ? ". Ma mère avait versé quelques larmes avant de me serrer fortement dans ses bras en murmurant que j’étais un bon fils.
    »


Duncan sentit son cœur se serrer dans sa poitrine. Il ne savait pas s’il était capable de retranscrire sur papier ce qui s’était déroulé ensuite, car, malgré le demi millénaire qu’il avait derrière lui, certaines plaies intérieures n’étaient pas encore totalement cicatrisées. Pourtant il le fallait, car il ne pouvait pas effacer cette partie de sa vie, rien que par respect pour sa mère. Il ferma de nouveau les yeux, pour tenter de se souvenir au mieux de se qui s’était passé.

|||

Un silence de mort régnait dans la cellule où se trouvait la famille Becket, et pour cause, ils étaient tout comme, sans aucun signe de vie, ils étaient tous les trois allongés sur leur paillasse respective, fixant le plafond d’un air vide et malheureux. Combien de jour, combien de nuit étaient venues depuis qu’ils étaient ici ? Enfermés dans cette pièce faites de mur de pierres froides, où jamais le moindre rayon de soleil n’entrait ? Depuis combien de temps n’avaient-ils plus vu la lumière douce et apaisante du jour, ou encore le clair de lune ? Ils n’en avaient aucune idée. Ils n’avaient plus d’idées, plus de pensées, plus de rêves, ils se contentaient d’attendre que viennent leur tour d’être emmené par ce terrifiant homme en noir qui était en réalité l’exécuteur des hautes œuvres. Attendre la mort alors qu’on l’est quasiment déjà à moitié, charmante perspective d’avenir pour deux enfants âgés de cinq et neuf ans… Il faisait vraiment noir, pas la moindre petite source de lumière, par le moindre éclairage, même pas une misérable bougie… Des pas se firent entendre dans le couloir, quelqu’un s’arrêta devant leur cellule, un déclic métallique indiqua l’ouverture de la porte.

- Sortez, murmura calmement et sans aucune compassion une voix masculine que Jason reconnut comme celle du "terrifiant homme en noir", celui qui lui avait déjà prit son père.

Les deux enfants s’étaient pressés dehors à l’aveuglette, tendant leurs petites mains fragiles pour ne pas se cogner dans un obstacle traître qui se trouverait sur leur chemin, mais leur mère ne semblait pas vouloir –ou pouvoir, se lever. L’exécuteur ne perdit pas son temps à l’appeler une seconde fois. Il entra brusquement dans la cellule et dressa Eleonore sur ses pieds sans la moindre douceur. Celle-ci, lorsqu’il la lâcha, s’effondra sur le sol dans un bruit sourd, soulevant un nuage de poussière. L’homme marmonna quelques paroles dans sa barbe puis la saisit par le collet, furieux. Il se mit à la secouer sauvagement pour la remettre sur pied. Duncan était en larme, il avait prit la bonne initiative de boucher les oreilles de sa sœur pour ne pas qu’elle entende les gémissement de douleur de sa mère et les bruits de coups que le terrifiant homme en noir lui portait. Après quelques tentatives fructueuses pour remettre la mère sur pied, il fit sortirent la famille de la prison par la porte principale. Une lumière aveuglante éblouit les trois condamnés. Lorsque enfin Duncan pu ouvrir les yeux, il eut un haut le cœur et souhaita ne jamais les avoir ouvert. Sa mère était dans un état si pitoyable ! Ses longs cheveux blonds était d’une saleté épouvantable, ils étaient emmêlés, en bataille, ses yeux, son visage étaient ternes, pâle, extrêmement pâle, une mort vivante, comme dans les livres qu’il lisait petit pour s’endormir.

Les gens étaient là, avec leur sourire moqueur, satisfait, heureux de voir ces trois innocents être conduits vers la mort, le jeune garçon en avait mal au ventre, son dégoût pour ses gens était à son paroxysme. Pourquoi allaient-ils mourir ? A cause de leur différence… N’était-ce pourtant pas cela qui faisait la force de chaque être humain ? Ils arrivèrent sur la place publique. On sépara les enfants de leur mère et on la fit monter sur une plate-forme de bois ou était dressé un piquet. On noua une corde autour d’elle pour la fixer dessus et un homme vêtu d’une longue tunique lui fit un long discours sur le traitement réservée aux sorcières. Les yeux du garçon s’agrandirent de frayeur lorsqu’il vit un homme qui portait une sorte de masque s’emparer d’une torche et enflammer la paille qu’on avait placé tout autour de sa douce mère. Sous le regard effaré de ses propres enfants, ses cheveux et ses vêtements commencèrent à se consumer. Duncan se débattait comme un fauve, hurlant à plein poumon, versant plus de larme qu’il n’en avait jamais versé. Tout devint noir lorsqu’il reçut un coup sec sur la tête.

|||

Duncan avait les yeux fermés, la tête penchée en arrière, levée vers le plafond, il sentit une larme rouler sur sa joue. Un faible et douloureux "Maman…" sortit de ses lèvres entrouvertes. Puis la peine se dissipa, laissant place à une certaine satisfaction, une liberté déconcertante. Il sentait qu’il s’était enfin libéré de se poids en écrivant ce souvenir sur son cahier, c’était la première fois qu’il faisait part de se souvenir, même à un objet, et cela lui avait fait le plus grand bien. Il se sentait près à déplacer des montagnes à présent. Mais il décida simplement de continuer à rédiger sa longue histoire, car il était vrai que cinq ans d’existence, c’était quand même sacrément long à raconter.


[ Argh, pas la place pour tout poster T_T Il va me falloir un troisième post parce que j'ai même pas fini le passé, vraiment désolée Arrow [] ]


Dernière édition par Duncan Warrens le Jeu 29 Jan - 21:13, édité 2 fois
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Ambre G. Turner
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D'accord, il y a des bons côtés. Un seul, en fait.

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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 20:28

    Selon ma vision des choses à moi,
    quand on fait un double-post pareil, on s'excuse pas ! x)
    J'ai eu beaucoup de mal à m'arracher à ce début d'histoire, qui est écrit magnifiquement superbement bien.
    Juste une chose : Bravo !
    Bonne continuation, & bienvenue parmi nous =D
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptyJeu 29 Jan - 21:16

[ Merci Ambre I love you ! Je t'aime déjà Very Happy ]

    « Lorsque je me suis réveillée, je me trouvais au beau milieu d’une route en terre, un sentier bordé d’arbre, j’ignorais ce qu’il s’était passé et où je pouvais me trouver, mais ce dont j’étais sur, c’est que j’avais perdus en quelques mois toutes ma famille. Ma sœur n’était plus là, elle n’avait sûrement pas survécue. Je me souviens avoir poussé le plus long et le plus terrifiant cri d’agonie que j’ai jamais entendu. Après ça, je me suis relevé, et j’ai marché, j’ai marché sans but, j’ai errer à travers les bois et les villages. J’ai vécu comme un vagabond, vivant au gré des familles qui, par pitié, me recueillait pour quelques temps, puis je reprenais mon chemin. Où est-ce que je me rendais ? Je ne le savais pas… Je me contentais de fuir mon passé comme je le pouvais. J’ai passé plusieurs année sur les routes avant de m’arrêter dans une ville portuaire, juste en face de la mer. J’avais noué de grand lien affectif avec la famille qui s’était occupée de moi, mais à vrai dire, une autre chose me retenait, leur fille. J’avais alors dix huit ans, et je crois que j’en étais tombé fou amoureux. Nous formions un couple harmonieux, j’avais prévu de l’épouser rapidement, pensant finir ma vie à ses côtés. Malheureusement, la sienne fut écourtée, puisqu’elle contracta le choléra au cours d’un voyage à l’étranger. Elle résista longtemps. Je suis resté à ses côtés jusqu’à ce qu’elle décède, priant tous les dieux pour contracter moi aussi cette maladie qu’on disait virulente, mais rien n’y fit, elle mourut quelques temps après, me laissant seul avec mon désespoir. Comme la première fois où j’avais perdu un être cher, je décidais de partir à nouveau. Je pris la mer sur un bateau de marchandise, puis finit par atterrir, me laissant porter de navire en navire, sur une île qui m’était alors inconnu, l’Islande. J’allais m’échouer dans un hôpital éloigné de la civilisation, rongé par le choléra qui m’avait finalement prit pour cible, comme quoi, quand la mort fait mine de ne pas vous avoir remarqué… »


_______________________

Il jugeât qu’il n’était pas nécessaire d’en ajouter d’avantage, l’essentiel sur son passé était réuni succinctement, ce récit retraçait tout les évènements marquants de sa vie en tant qu’humain, il éprouvait maintenant le besoin de raconter Ce jour. Le jour où Ça c’était passé. Sa transformation en vampire, et la rencontre avec cet homme qui lui avait sauvé la vie.

    « J’ai cru mourir pendant ces longues journées de souffrance. Mais aujourd’hui je me rend compte que je ne connaissais rien à la véritable souffrance, celle à l’état pure, sauvage, indomptable, celle qui vous vrille le corps, les os, la chair, au point d’en avoir envie de mourir. J’ai connu cette souffrance. Alors que je me débattais de toutes mes forces pour rester en vie et que je me sentais mourir peu à peu, un homme est venu me voir à mon chevet, il n’avait pas l’air de craindre la maladie, il m’a sourit, puis il a congédier la bonne sœur qui me servait d’infirmière. Il s’est alors approché de moi et m’a demandé si je tenais à la vie. Surpris, et complètement épuisé, j’ai répondu oui, il m’a alors fais la proposition la plus folle que je n’ai jamais entendue. Devenir un vampire pour me sauver des griffes de la mort. Un vampire ? Ces choses avec deux dents pointus qui sucent le sang des gens et qui ont peur de l’ail ? Voilà ce que j’ai pensé sur le coup, et, amusé, j’ai accepter. Ce qui c’est alors produit me marquera à jamais je pense. Il m’a chuchoté de ne pas bouger à l’oreille, puis j’ai sentit ses dents se planter dans mon cou, et tandis qu’il mordait, je sentais une chose bouillante, acide se propager lentement dans mes veines. J’étais à bout de souffle, trempé de sueur, je ne comprenais pas pourquoi j’avais cette douleur si atroce, si immense, comme si l’on brûlait la peau partout, même à l’intérieur de moi-même. Au bout de quelques temps de souffrance intense et insupportable, je sentis mes yeux se fermer. J’étais mort ? Pas vraiment, car je ré-ouvris les yeux peu de temps après, redécouvrant le monde, ce que les vampires appelaient communément entre : Deuxième naissance »


Duncan se gratta le front avec la pointe extérieur de son porte plume, soucieux. Alors qu’il débordait d’idée sur ce sujet, rien de concret ne sortait, les mots restaient bloqués dans son esprit et la plume refusait de les mettre en forme sur le papier jauni par le temps. Il regarda sa montre, elle affichait déjà six heures trente, il avait passé la nuit à rédiger, à raconter la moindre parcelle de son passé, il fallait qu’il se dépêche, car Ambre n’allait sans doute pas tarder à se réveiller, et elle s’intéresserait forcément à ce qu’il était en train de faire. Non pas qu’il ne voulait pas qu’elle le lise, mais il ne voulait pas qu’on commence la lecture alors que ce n’était pas fini. Il plongeât sa tête entre ses mains, l’inspiration ne venait pas, il se prit à penser que parfois, les nuits étaient bien longues en ce moment. Puis, alors qu’il tentait de se rappeler quelques petites anecdotes intéressantes, il sentit des bras s’enrouler avec douceur autour de son torse et des lèvres se poser sur son cou. Il se retourna avec un sourire empli de désir.

- Tu as essayer de me mordre ? demanda t-il malicieusement avant de l’embrasser doucement.

_______________________


Il attendit tranquillement qu’Ambre parte prendre sa douche pour recommencer à écrire, bien que l’idée d’aller la rejoindre ne lui déplaisait pas (xD), mais il fallait qu’il finisse ce fichu bouquin, tant qu’il avait les souvenirs bien place ! Mais de toute façon, il n’aurait aucun mal à se souvenir de ce qui s’était passé après sa transformation.

    « Il paraît que je suis resté dans une sorte d’état comateux pendant un peu moins d’une semaine, c’est en tout cas ce que m’avait dit Lewis lorsqu’il m’avait retrouvé, errant de nouveau seul, comme une âme en peine, au beau milieu des bois. Lorsque je me suis réveillée, je me suis sentis faible, comme si j’avais couru jusqu’à en perdre tout mon souffle, comme si je me réveillais d’un sommeil d’une centaine d’année. Je compris plus tard qu’il s’agissait en fait de ma seconde naissance, j’étais en quelques sortes mort pour pouvoir renaître après. Après avoir retrouvé mes esprits, j’ai remarqué que quelque chose clochait, j’avais soif. Extrêmement soif. Je me ruais sur un verre d’eau pour faire taire cette envie qui en devenait presque addictive, mais rien n’y fit, je sentais encore ce manque remonter avec puissance du fond de mes entrailles. Mes mains tremblaient et je pouvais rien faire pour les arrêter, c’était tout juste si je n’étais pas secoué de spasmes. C’est à ce moment que je compris l’ampleur de la situation, que je commis, presque inconsciemment le premier meurtre d’une longue série. Lorsque l’infirmière était revenue voir mon état, je lui avais littéralement bondit à la gorge et l’avait finalement vidée de tout son sang avant la laisser mourir sur le carrelage jadis blanc. Après avoir sauté par la fenêtre et avoir couru jusqu’à perdre haleine, je me suis mis à attaquer tout ceux que je rencontrais, rien n’était suffisant pour étancher ma soif avide de sang. Après avoir tué plus d’une cinquantaine de personne en un mois, me dégoûtant de moi même, je suis revenu trouver Lewis Warrens. Contrairement à ce que j’avais pu imaginer, il ne me jugeât pas, il se contenta de me prendre sous son aile et de m’apprendre les bases fondamentales de la vie d’un vampire pacifistes. Il me démontra habilement que l’on pouvait se passer du sang humain si on avait la volonté d’y arriver. Presque aussitôt après, je décidais de poursuivre son enseignement. Je fis la connaissance de ceux qui sont aujourd’hui mes frères, malheureusement, avec le temps, nos chemins se sont quelque peu séparés. J’ai attendu longtemps qu’une personne vienne me tirer de mon ennui quotidien, allez, peut être un peu moins de cinq cent ans… Et puis Ambre est arrivé, immédiatement, je l’ai aimé, à n’en plus pouvoir me passer d’elle, et elle a finit par faire de même. Maintenant, que je pense à nous deux, je ne peux m’empêcher d’être égoïste, j’aimerais qu’elle devienne à son tour un vampire, pour que je puisse la garder près de moi pour l’éternité… »




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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptySam 31 Jan - 1:00

Encore désolée du double post Arrow [] Et aussi de ma fin merdique mais il fallait que j'abrège là xD Bref, je pense avoir fini I love you !
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Ambre G. Turner
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D'accord, il y a des bons côtés. Un seul, en fait.

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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? EmptySam 31 Jan - 12:36

    Fin merdique ?
    Tu dis encore un truc du genre, je te tues =p
    Devant la perfection de cette fiche, je te valides illico !
    Bon jeu ! =D
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MessageSujet: Re: Duncan ||| Could you be loved for what you are ?   Duncan ||| Could you be loved for what you are ? Empty

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